LA CONFIANCE EN SOI

Estime de soi et confiance en soi

La confiance en soi

  1. La zone de non crainte

« Personne n’a jamais rien accompli d’exceptionnel sinon ceux qui ont osé croire que quelque chose en eux transcendait leur situation » Bruce Barton

Je suis dotée d’un potentiel extraordinaire en matière de réussite, de réalisation de soi et de prospérité, ayant plus de talents et d’aptitude que nécessaire.

La seule chose qui m’empêche de vivre la vie de mes rêves, c’est LA PEUR.

La confiance en soi est la clé fondamentale pour accéder à la réussite.

A quelles choses extraordinaires oseriez-vous rêver si sa réussite était garantie ? Avoir l’assurance absolue de réussir ?

Une confiance en soi illimitée rend inarrêtable.

L’avis des autres et les paroles qui se veulent blessantes n’auraient plus de prise.

On serait plus créatives et on mettrait en place des solutions plus créatives.

On serait plus puissantes, plus populaires, on nous trouverait plus sympathiques et des postes de prestige s’offriraient à nous.

« Il n’y a pas de problèmes, il n’y a que des solutions »

Etre satisfaite de soi-même et heureuses en sachant en notre fort intérieur qu’on peut tout régler, qu’on contrôle notre vie, avoir la fierté d’être qui je suis et je serais admirée par mes proches.

La confiance en soi s’apprend et peut se développer tout au long de sa vie

  • La grande loi d’Aristote : le principe de causalité

Nous vivons dans un univers régit par l’ordre.

Il y a une raison à tout ce qui se produit : la loi de cause à effet.

Peut nous enfermer dans une cellule que nous avons fabriquée nous-même ou nous délivrer en nous procurant une liberté pleine et entière.

La loi : «  Dans des conditions identiques, les mêmes causes produisent les mêmes effets »

Si on veut plus d’argent, plus de réussite, on peut le retracer jusqu’à sa cause. Donc en répétant cette cause, on peut jouir davantage de ses effets.

Si on atteint une fois ce résultat, on peut retracer les choses que nous avons faites pour l’obtenir et en les répétant, on reproduira le même résultat.

Si on vit des difficultés, des problèmes financiers ou relationnels, on peut retracer les causes et voir quelles actions nous ont amenée à cette difficulté et en les modifiant, en les éliminant, nous pourront obtenir différents effets ou résultats différents.

Tout arrive pour une bonne raison. Rien n’est dû au hasard.

  • Les racines du manque de confiance en soi

Einstein « La folie c’est de continuer à faire les mêmes choses et s’attendre à un résultat différent « 

Au départ, on part tous avec un sentiment d’infériorité et de ne pas être à la hauteur à cause de critiques destructrices, d’un manque d’amour ou d’autres erreurs que nos parents ont commises, nous grandissons avec de moins en moins d’estime de soi et de confiance en soi, avec le sentiment de ne pas être assez bons, en comparaison avec les autres.

être atteint du syndrôme de l’imposteur, c’est manquer de confiance en soi.

Etre heureux:

Etre profondément satisfaite de soi même est ce qu’on désire le plus.

Etre positive, se sentir bien, aspirer à la tranquilité d’esprit.

On peut la connaître en ayant la capacité à bien composer avec les exigences de la vie, de notre famille, de notre cercle d’amis, de notre travail, de nos activités sociales, de nos clients, de tout le reste.

Selon de la loi de cause à effet, pour avoir confiance ne soi, il faut mettre en pratique les causes d’une excellente confiance en soi.

Observer ce que pensent, disent et font les personnes très sûres d’elles et à faire les mêmes choses qu’elles par la suite nous permettra d’obtenir les mêmes résultats qu’eux.

Une formation en vue d’un marathon mental:

  1. les fondements de la confiance en soi:

« Rien n’est bon ni mauvais en soi. Tout dépend de notre pensée. » William Shakespeare

Les pensées et les sentiments que j’entretiens à mon sujet et ce que je pense possible ou impossible à faire sont la somme de tout mon vécu et du conditionnement que j’ai vécu tout au long de ma vie. Or, ça représente rarement ce que je suis REELLEMENT capable d’accomplir.

2. La loi du devenir

Chaque personne est engagée dans un processus continu, ou une évolution et une croissance qui la fait avancer dans la même direction que ses pensées dominantes.

Idem pour le corps: Si les cellules meurent et se régénèrent à un rythme normal, on obtient un corps entièrement nouveau tous les 7 ans .Notre évolution physique dépend de la façon dont on nourrit notre corps.

Notre évolution mentale et notre devenir dépend des pensées dont on nourrit notre esprit. On devient ce à quoi on réfléchit.

Selon la loi de la concentration, une pensée sur laquelle on revient constamment devient réalité. Tout ce à quoi je réfléchis assez longtemps et assidument finira par s’inscrire dans mes processus mentaux, exerçant son influence et sa puissance sur mon attitude et mes comportements.

Si j’utilise souvent des pensées d’audace, de confiance et d’estime de soi, de courage, je gagnerais progressivement en audace, confiance, courage et estime de soi. Plus je me concentrerais sur la personne que je désire être, possédant les qualités que j’aimerais posséder, plus je vais les enraciner dans mon inconscient et elles feront partir de mon évolution continue. Ce à quoi on réfléchit finit par s’inscrire dans son caractère et sa personnalité.

« Je suis fille de mes oeuvres ».

Je suis ce que je suis et là où je suis en raison des pensées que j’ai laissé occuper mon esprit. Tout sur ce que je suis constamment revenue au cours des derniers mois et des dernières années c’est ce que je suis devenue.

Ce sont mes pensées qui ont construit qui je suis et je continue à me construire en fonction de chacune des pensées que j’entretiens.

C’est un incontournable de la vie. La croissance personnelle n’est pas facile. La majorité des gens préfèrent penser à ce qu’ils ne voudraient pas voir se produire et à en parler. C’est justement ce qu’ils espéraient éviter qui leur arrive fois après fois.

3. La pensée est créatrice

Les pensées entretenues produisent les réalités qui leur correspondent.

« Dis-moi ce que tu penses et je te dirais qui tu es. » Nos pensées deviennent nos réalités. Nous ne pouvons pas avoir un type de pensées et vivre une réalité différente. C’est la loi de cause à effet.

Pour avoir confiance en soi, il faut maîtriser pleinement, complètement, systématiquement et volontairement le contenu de votre conscient. Se discipliner à ne penser qu’aux choses que je désire et fermer résolument mon esprit à ce que je redoute.

LA VIE ENTIERE SE VIT DE L’INTERIEUR VERS L’EXTERIEUR. Selon la loi de correspondance, notre monde extérieur reflétera notre monde intérieur. Ce que l’on voit de l’extérieur constitue en grande partie le reflet de ce qui se passe à l’intérieur.

Le bonheur c’est de vivre notre vie en harmonie avec les lois qui régissent notre être. Même si ces lois sont invisibles, elles sont comme la loi de la gravité: on ne peut les transgresser qu’à ses risques et périls. Les gens heureux sont ceux qui obéissent aux lois naturelles et qui vivent en conformité avec elles.

Tout commence par la vie intérieure. Si je veux de l’assurance extérieurement, je dois exercer intérieurement une intégrité complète.

Le fondement de la confiance en soi consiste à vivre en conformité avec nos valeurs et nos principes fondamentaux, tout en veillant à penser et à agir en harmonie avec mes plus grandes aspirations.

Tout ce que je fais ou dit doit correspondre à mes convictions les plus profondes. Aussi longtemps que j’aurais la conviction profonde de faire la bonne chose, j’éprouverais un calme profond qui se manifestera par une attitude de confiance en soi et d’assurance en toute situation.

On connaît des hauts et des bas mai le plus important c’est de rester fidèle à soi-même.

4. Déterminer mes valeurs clairement et dans quel ordre. Chaque fois qu’une décision pas facile est à prendre, ressortir sa liste de valeurs et comparer les différentes options possibles au regard de mes valeurs. Cette décision prise de cette manière sera toujours fidèle à qui je suis.

5. L’importance de l’intégrité:

Respect absolu de ne pas déroger à ses valeurs et ses principes, ce qui en fait une valeur fondamentale pour se construire une bonne confiance en soi.

Pour cela j’ai avant tout besoin de clarifier mes valeurs.

  1. Qu’est-ce qui me tient à coeur?
  2. Qu’est-ce que je ne tolèrerais pas?
  3. Pour quelle valeur suis-je prête à faire des sacrifices?
  4. Pour quelle valeur suis-je prête à payer ou à travailler plus ou à mourir? Famille? Santé? Dieu? Travail? Carrière ?
  5. Est-ce que j’accorde du prix à des principes comme la liberté? La compassion envers les plus démunis? Le respect? L’honnêteté? La vérité? La sincérité? La générosité?

Ex: mettre nos valeurs par écrit puis les classer par priorité.

Pour s’aider, se rappeler des personnes vivantes ou mortes que j’admire le plus.

Quelles qualités chez ces personnes est-ce que je considère comme de la plus haute importance?

Quelles sont parmi leurs qualités, celles que je voudrai le plus posséder?

Quelles qualité est-ce que je recherche parmi mes amis? mon conjoint? ma famille?

Si on est intègre, nos valeurs sont non négociables. On ne fait pas de compromis sur nos valeurs profondes.

6. La confiance en soi:

Principe de causalité: Tout arrive pour une raison. Rien n’est dû au hasard.

7. Loi du devenir:

On avance dans la même direction que nos pensées dominantes.

Ex: Notre évolution physique dépend de al façon dont on nourrit notre corps. Notre évolution mentale dépend des pensées dont on nourrit notre esprit.

Tout ce à quoi je réfléchis assez longtemps et assidument finira par s’inscrire dans mes processus mentaux, exerçant son influence et sa puissance sur mon attitude et mes comportements.

8. Entre croyances limitantes et croyances porteuses.

Tout ce qui concerne l’identité personnelle, qualités et défauts semble plus difficile à définir. C’est en relation avec la vision de soi. La confiance en soi peut se nourrir des compétences.

9. Vision de soi:

Ex: Une personne complexée, dont l’estime de soi est souvent basse interpelle son entourage qui ne perçoit pas les défauts qu’elle se prête. Elle ne se voit pas objectivement. Elle met l’accent sur ses imperfections et en fait une généralité. Elle se colle une étiquette « moche ».

Souvent lié à notre environnement familial; ce que nos parents avaient comme projets pour nous. Avoir peur de décevoir est synonyme de vision, image fragile.

Une vision de soi limitée engendre souvent une dépendance vis-à-vis d’autrui. On peut établir des relations satisfaisantes mais on a du mal à prendre des décisions, des initiatives si elles ne sont pas validées ou prises par l’autre/avec l’autre. On peut se sentir perdu si on doit prendre le lead dans la relation.

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